Je suis de retour comme DSK.

Publié le par LECLERCQ Gilbert

Désolé,  je bossais comme un malade et tard le soir ce qui m'a empêché de vos détendre les zygomatiques.

Mais aujourd'hui, petite journée de repos alors je remets ça, surtout qu'il y a pas mal de choses à commenter.

DSK est un saint, il n'a rien fait, enfin presque.

La bonne, bonne musulmane est en réalité une mauvaise musulmane, elle voulait se faire payer pour une petite pipe.

Elle s'adressait à DSK, normalement c'est elle qui aurait dû le payer pour avoir eu l'honneur d'avoir glouglouter le patron du FMI.

Depuis, elle est passée du statut de sainte, ce qui était un comble pour une musulmane, aux différents statuts allant de la maîtresse d'un dealer, d'une femme ayant des enfants hors mariage, de maître chanteur et pour finir pute.

Quelle évolution de carrière en quinze jours.

Inversement proportionnel, DSK, le salaud, est devenu le pauvre patron du FMI, traîné dans la boue par une femme qui aurait voulu monter un complot, peut être même un complot d'état fomenté par la droite française.

Le feuilleton Dallas qui n'en finissait plus dans les rebondissements à la mord moi le noeud ressemble à un feuilleton à l'eau de rose. Presque la bibliothèque rose ou verte de notre enfance.

Aujourd'hui, grande nouvelle, DSK n'arrivait pas à entrer chez sa femme, chez sa femme, parce que lui il ne tient pas les cordons de la bourse, c'est elle qui a l'oseille.

Sans elle, il serait resté en calèche, certainement avec de bons musulmans qui lui auraient appris comment on se met à genoux pour prier avant la grande souffrance.

Elle lui a évité cette douleur, tant mieux pour lui.

Donc ils étaient tous les deux dehors et ne réussissaient pas à ouvrir la porte à cause d'une clef récalcitrante.

Quelle affaire, lui qui n'avait plus le droit de sortir depuis près d'un mois, ne pouvait plus renter dans sa petite maisonnette.

J'en avais les larmes aux yeux. Que le destin est cruel avec cet homme, trois minutes pour ouvrir sa lourde,

Qu'il n'oublie pas quand même que la porte de la taule qui lui était promise, serait restée fermé un peu plus que trois minutes et il aurait été du mauvais côté de la porte.

 

Autre chose moins frivole, je ne veux plus que vous me fassiez un poutou.

Pourquoi ?

Parce que c'est le nom du remplaçant du facteur de Neuilly.
Poutou, quel drôle de nom pour un futur emmerdeur. J'aurai certainement l'occasion de revenir sur Poutou.

Mais où est donc notre facteur, porte t'il toujours le courrier.

Mais non, il fait du bateau en ce moment !

Non, il n'est pas devenu marin, il est parti pour une cause humanitaire et veut casser le blocus israëlien sur le port de Gaza.

Ce qu'il doit casser, c'est les oreilles, pour ne pas dire plus aux autres illuminés qui sont avec lui sur le bateau.

Pince mi et pince sans rire sont sur un bateau, pince sans rire tombe à l'eau, qu'est ce qui reste ?

La tranquillité !

 

Le chamallow est en campagne en Guadeloupe, il parle même guadeloupéen dans son discours, enfin un mot ou deux pour essayer de mettre la Guadeloupe dans sa poche. Si il en dit plus ils vont le jeter à la mer.

La fatma du Nord, elle, ne parle pas, même sur le retour de DSK, elle ne prend pas position.

Quel courage !

Elle ne dit rien, comme ça au moins elle ne dit pas de conneries.

Mais l'on attend d'un homme ou d'une femme politique qui'il s'engage au moins un minimum.

Elle veut gouverner le pays ?

De cette façon ça nous promet des lendemains glorieux, si elle est malheureusement élue.

 

Une nouvelle rue a été baptisée à Paris.

La rue Mohamed Bouazizi. près du parc Montsouris.

Quel est ce héros qui a l'honneur d'une rue de Paris.

Un Maréchal ou un général de Napoléon , NON

Un héros de la grande guerre ? NON

Un résistant mort pour la France en chassant les nazis de notre sol ? NON

Mais alors qui est ce grand héros ?

Un vendeur ambulant tunisien qui s'est immolé parce que le gouvernement de Benali lui avait pris sa carriole et sa balance. Ce qui aurait déclenché les révolutions dans les pays arabes.

Avouez que cela mérite le nom d'une rue parisienne !

Ce qui ne mérite pas le nom d'une rue parisienne, c'est d'être soldat français en Afghanistan et d'être abattu.

C'est normal que nos soldats se fassent descendre pour ces types qui une fois que nous aurons quittés leur pays, retourneront illico au moyen-âge dans lequel nous avons essayer de les sortir.

Ce qu'il fallait faire c'était les laisser dans leur bourbier.

 

Allez à bientôt.

 

 

 

 

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