Braqueurs en crise.
Rien ne va plus, ce matin des braqueurs matinaux se sont attaqués courageusement à un magasin hard discount de l'enseigne LIDL à Sevran dans le 93.
Ils auraient dérobé quoi ? Des boites de conserves, des pâtes, une petite bouteille
de piquette ?
Peut-être un peu d'argent, de quoi faire un petit repas entre copains de braquage.
Ils espéraient raconter leurs exploits à leurs petit-enfants au coin du feu ? Avoir menacé des caissières qui gagnent le SMIC, le chef de rayon qui était armé de sa douchette à code barre.
Ca s'appelle prendre des risques.
Bien sûr qu'ils auraient arrangé l'histoire à leur sauce pour avoir le beau rôle, celui du héros; le Robin des Bois du 93.
Malheureusement pour eux et heureusement pour nous la police passait par là.
Et maintenant ils sont coincés entre les lessives et les tranches de jambon sous vide.
Presque entre la poire et le fromage.
Il y a encore quelques années, les braqueurs en avaient un peu plus dans le pantalon, ils s'attaquaient à des banques,des fourgons blindés, enfin quelque chose qui avait du répondant.
Ils prenaient de très gros risques, je ne les encence pas, loin de là, mais il faut reconnaitre que quelques braqueurs sont devenus célèbres.
Spaggiari et le casse de Nice en passant par les égouts et en écrivant sur les murs de la salle des coffres qu'il venait de fracturer : Sans armes, ni haine, ni violence.
Mesrine, gangster des années 70 qui fut l'ennemi public N° 1, recherché en France, Espagne et Canada.
Pas un enfant de choeur c'est sûr. Qui ne faisait pas sienne la devise de Spaggiari.
Tous deux au destin tragique, doivent se retourner dans leur tombe en voyant ces petits malfrats qui s'attaquent à un magasin de hard discount où les prix sont très bas, comme la qualité d'ailleurs.
Mais la crise touche tout le monde, même les braqueurs se mettent au hard discount.
Quand ils s'attaqueront à Carrefour ou Auchan, nous saurons que la crise s'éloigne, et je ne vous parle pas du jour où ils décideront de s'attaquer à Fauchon ou Hédiard.
Ils auraient dérobé quoi ? Des boites de conserves, des pâtes, une petite bouteille
de piquette ?
Peut-être un peu d'argent, de quoi faire un petit repas entre copains de braquage.
Ils espéraient raconter leurs exploits à leurs petit-enfants au coin du feu ? Avoir menacé des caissières qui gagnent le SMIC, le chef de rayon qui était armé de sa douchette à code barre.
Ca s'appelle prendre des risques.
Bien sûr qu'ils auraient arrangé l'histoire à leur sauce pour avoir le beau rôle, celui du héros; le Robin des Bois du 93.
Malheureusement pour eux et heureusement pour nous la police passait par là.
Et maintenant ils sont coincés entre les lessives et les tranches de jambon sous vide.
Presque entre la poire et le fromage.
Il y a encore quelques années, les braqueurs en avaient un peu plus dans le pantalon, ils s'attaquaient à des banques,des fourgons blindés, enfin quelque chose qui avait du répondant.
Ils prenaient de très gros risques, je ne les encence pas, loin de là, mais il faut reconnaitre que quelques braqueurs sont devenus célèbres.
Spaggiari et le casse de Nice en passant par les égouts et en écrivant sur les murs de la salle des coffres qu'il venait de fracturer : Sans armes, ni haine, ni violence.
Mesrine, gangster des années 70 qui fut l'ennemi public N° 1, recherché en France, Espagne et Canada.
Pas un enfant de choeur c'est sûr. Qui ne faisait pas sienne la devise de Spaggiari.
Tous deux au destin tragique, doivent se retourner dans leur tombe en voyant ces petits malfrats qui s'attaquent à un magasin de hard discount où les prix sont très bas, comme la qualité d'ailleurs.
Mais la crise touche tout le monde, même les braqueurs se mettent au hard discount.
Quand ils s'attaqueront à Carrefour ou Auchan, nous saurons que la crise s'éloigne, et je ne vous parle pas du jour où ils décideront de s'attaquer à Fauchon ou Hédiard.